octobre 2008

Mardi 28 octobre 2008

Feuilles d'automne

Feuilles d'automne

Lundi 27 octobre 2008

Mélancolique

Aurore

Vendredi 24 octobre 2008

Au rapport

Chose promise, chose due : après une semaine aussi bien remplie en concerts que la semaine dernière, il fallait que je vous en donne un petit aperçu. L'Automne Club On passera rapidement sur le regrettable caprice de Manu Katché pour s'attarder plus longuement sur les trois autres dates que j'ai pu couvrir :

  • Le Big Band 31 de Philippe Léogé, avec ses invités Silvia Droste, David Lynx et Claude Egéa, qui ont joué à Odyssud.
  • Le quartet de Jean-Marc Padovani, avec Jean-Marie Machado en invité d'honneur, sous le chapiteau de l'Automne Club.
  • Stefano Di Battista et ses potes à Odyssud.

Ce que je retiens de ces trois concerts, c'est que je me suis régalé à la fois musicalement et photographiquement. Non seulement la musique était un régal, mais les lumières étaient aussi soignées, intimistes mais suffisantes, et l'ambiance des concerts en général était très classe. J'ai noté au passage la belle performance des organisateurs du festival avec la salle de l'Automne Club, dont le nom rappelle celui d'un vieux club de jazz des années 20 : sous un chapiteau monté dans la cour du conseil général, ils ont recréé une ambiance de cabaret très chic et extrêmement plaisante où se sont déroulé une quinzaine de concerts gratuits ou à tarifs réduits...

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Jeudi 16 octobre 2008

Filet garni

Après le petit mot d'humeur hier, ça serait dommage de laisser croire que c'est la seule chose qui me soit arrivée ces dernières semaines. Quoiqu'en fait, je n'ai toujours pas grand chose à dire, pas trop le temps de le développer non plus et peut-être plus l'occasion de le faire pour longtemps. Mais le fait est que j'ai quand même eu plusieurs occasions de shooter depuis un mois grâce à Airtist...

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Mercredi 15 octobre 2008

Carton rouge

Ca faisait un mois ou deux que j'attendais ce concert. Après l'annulation de celui de Marciac le soir même, je comptais bien me rattraper en allant voir Manu Katché lors de son passage à Toulouse pour Jazz sur son 31. Surtout que c'était un des rares concerts du festival pour lesquels j'avais demandé et obtenu une accréditation.

Sauf que Monsieur l'artiste a pété un câble le soir même, juste avant le concert, à ce que j'ai appris, et a interdit tous les photographes. Résultat : j'ai du laisser mon appareil au vestiaire et me contenter d'écouter le concert.

En soit, ça aurait pu être pas mal, mais j'avoue que dans ces conditions, j'ai eu du mal à apprécier la performance. Et encore plus de mal à écouter Monsieur remercier le public qui lui "donnait des ailes". Genre "on n'est rien sans vous, c'est grâce à vous tous qui êtes là qu'on peut jouer ce soir, et c'est tellement extra d'avoir un tel public, de sentir cette interactivité avec vous..." Et bla bla bla.

Désolé Manu, mais après un coup comme celui que tu nous as fait ce soir, j'ai plutôt tendance à prendre ça pour de l'hypocrisie. Et ce genre de discours, ça passe mal quand je n'y crois pas, ça fait plus démago qu'autre chose.

Donc finalement, pour ce qui est de la critique musicale, désolé, mais elle risque d'être tout aussi acerbe. Parce qu'il y a des batteurs qui en font tellement que leur jeu semble n'être qu'un long break, du début à la fin du morceau, et c'est l'impression que m'a fait Manu hier soir. Ah ça, il sait cogner fort, et il a peut-être une grande fluidité dans ses enchaînements, mais au final, ce que j'en ai retenu, c'est que j'en ai pris plein les oreilles, et pas vraiment dans le bon sens du terme.

Alors pour ce que ça vaut, et même si ça t'est égal, sache juste une petite chose, Manu : tu as perdu un fan hier soir.