Peut-on se permettre de dire qu'on ne va pas bien sur son blog ? Ca a été l'un des nombreux sujets abordés par les derniers irréductibles lors du Toulouse Carnet de juillet. Personnellement, je n'y vois rien de mal, mais il semblerait que certain(e)s en ai gardé un mauvais souvenir. Bizarre, les rares fois où ça m'est arrivé, j'ai plutôt eu droit à des mots d'encouragement, ce qui n'était pas forcément le but recherché (parce que je n'aime pas avoir l'impression de chercher à me faire plaindre) mais qui était plutôt positif.

Alors, est-ce une bonne chose ? Qu'est-ce qu'on risque ? Je sais pas trop. Moi, en ce moment, j'ai le cerveau plutôt emmêlé et le coeur qui joue au yoyo. J'ai la tête ailleurs, la vague impression d'être un peu déconnecté et les idées pas claires. Parfois même l'impression que je vais exploser en vol. Je n'arrive pas à prendre certaines décisions qui me semblent importantes parce que je change d'avis toutes les quinze secondes. Cette histoire de changement possible d'employeur en fait partie et n'arrange rien à l'histoire[1]. Mais malgré ça, le moral est bon, la santé aussi, donc on fait aller. Vivement les vacances, quoi. Ou alors il faut que je trouve un moyen de me défouler...

Notes

[1] Dernières nouvelles : mon entretien s'est très bien passé avec mon manager mais j'ai ça dans ma boîte mail aujourd'hui : "on veut vraiment te garder, et on est prêt à faire des efforts pour ça, mais le directeur d'agence est en congés. Est-ce que tu peux attendre jusqu'au 24 ?" Sachant que de toutes façons, ils ne pourront pas s'aligner sur l'offre qu'on m'a faite ailleurs, parce que ça fait quand même une sacrée augmentation, mais qu'en même temps, j'ai pas particulièrement envie de partir... J'en ai marre qu'on joue avec mes nerfs. Bon, après négociation, j'aurai quand même une réponse lundi.