Dire que ça fait un mois que Jazz in Marciac est terminé. Et je ne vous ai toujours pas raconté la fin... Alors reprenons là où je m'étais arrêté. Après cette fameuse soirée, j'ai été faire un petit tour à la mer, mais avecma chance habituel, le temps n'était pas au rendez-vous. Aussi lorsque j'ai appris que le pass photo pour Marciac était libre pour les deux derniers soirs, je n'ai pas hésité une seconde : retour dans le Gers. Au programme cette fois-ci, un peu de latin jazz : deux soirées sous le signe de la musique afro-cubaine.

Pour ces dernières soirées du festival, les concerts n'avaient plus lieu sous le grand chapiteau mais à l'intérieur des arènes. Un cadre et une ambiance très différente au final. Sur scène, l'éclairage a un peu changé, et parmi le public, la température a clairement monté. Quoi de plus normal ? Je n'ai jamais vu un public debout écouter sans bouger un groupe de salsa dans le genre de Mecanica Loca.

La Mecanica Loca

La Mecanica Loca

La Mecanica Loca

La Mecanica Loca

La Mecanica Loca

La Mecanica Loca

La Mecanica Loca

La Mecanica Loca

La Mecanica Loca

Après eux, l'Orchestra Baobab est entré en piste. Un peu plus afro que cubaine, leur musique. Mais ça restait sympathique quand même. Petite différence aussi : seulement 3 chansons d'autorisées pour les photographes. Classique[1], mais je ne vois toujours pas l'intérêt de ce genre de contraintes...

Orchestra Baobab

Orchestra Baobab

Orchestra Baobab

Orchestra Baobab

Orchestra Baobab

Orchestra Baobab

Pour le soir suivant, dernière soirée du festival, la "Mecanica Loca" s'est payé le luxe de revenir une deuxième fois. Et ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre ! Les deux soirs, je me suis régalé, et le public aussi apparemment.

La Mecanica Loca

La Mecanica Loca

La Mecanica Loca

La Mecanica Loca

La Mecanica Loca

La Mecanica Loca

Et pour terminer, last but not least comme disent les sujets de Sa Majesté, Orlando "Maraca" Valle et ses musiciens ont fait durer cette soirée de clôture jusqu'à tard, très tard dans la nuit. A peu près 2h du matin d'après le datage de mes fichiers. Et pourtant, on n'a pas vu le temps passer...

Orlando "Maraca" Valle

Orlando "Maraca" Valle

Orlando "Maraca" Valle

Orlando "Maraca" Valle

Orlando "Maraca" Valle

Orlando "Maraca" Valle

Orlando "Maraca" Valle

Orlando "Maraca" Valle

Orlando "Maraca" Valle

Orlando "Maraca" Valle

Orlando "Maraca" Valle

Notes

[1] "Trois chansons, pas de flash" est la règle la plus communément imposée aux photographes de concerts. Mais le nombre de chansons peut être très variable selon les organisateurs du concert, l'artiste, etc. Sur les trois soirées que j'ai faites à Marciac, Orchestra Baobab est le seul groupe à avoir posé un nombre de chansons maximum, mais je sais par un autre photographe que pour Diana Krall par exemple, les photos n'étaient autorisées que sur les deux premières chansons.