Vendredi soir, comme prévu, concert : Pier Planas et LeGroupe, qui débutaient leur tournée internationale de Midi-Pyrénées par un concert à l'INSA à Toulouse.

En fait, j'y suis surtout allé parce que je connaissais l'altiste du groupe, ce qui m'a permis d'avoir des places à un tarif préférentiel de 50 centimes de plus que les autres... Mais bon, malgré le fait que c'est une fille que j'aime énormément, je me suis promis de faire une critique impartiale et très positive de ce concert.

Donc ce que je retiendrai de la soirée, outre le moment où j'ai glissé du siège sur lequel j'étais debout pour prendre des photos, c'est :

• Le sourire de ladite altiste, mais ça, c'est quasiment tout le temps (à part peut-être quand elle est trop concentrée sur la partition).

• Le style dans l'ensemble, qui m'a beaucoup plu, aussi bien pour les mélodies que pour les textes très travaillés.

• Les arrangements qui sonnaient vraiment bien, aussi bien sur les compositions de Pier que sur les quelques reprises.

• La super qualité à tous les niveaux (les candidats de la Nouvelle Star ont du souci à se faire...).

Félicitations à tous les artistes pour cette superbe performance, aussi bien ceux sur scène que ceux qui travaillent dans l'ombre. Moi, je me suis régalé.

Seul point négatif : la lumière un peu faible à mon goût qui m'a obligé à monter au maxi dans les isos pour avoir des vitesses correctes, ce qui fait que toutes mes photos sont assez bruitées, mais vaut mieux ça que 300 photos floues. Enfin pour tous ceux qui n'étaient présents à aucune des deux dates du week-end et qui commencent à le regretter amèrement, tant pis pour vous. Pas la peine de pleurer, z'aviez qu'à écouter mes conseils.

A la rigueur, vous pouvez vous consoler en allant écouter les extraits disponibles sur le site : www.pierplanas.com. Ou pleurer un peu plus, au choix...

En jetant un coup d'oeil à ce blog récemment, je me suis rendu compte que le rendu sur Internet Exploder comportait quelques bugs. Je mettrait bien ça sur le compte de Microsoft, mais bon, ils s'en fichent un peu, de mon blog, et c'est pas ça qui les convaincrait de faire un navigateur un peu plus respectueux des normes.

Quoi qu'il en soit, comme j'avais un peu de temps à perdre devant moi, j'ai décidé de faire quelques retouches dans mes thèmes, mises en ligne hier, de manière à ne pas laisser les pauvres visiteurs qui utilisent IE avec une mise en page bancale. Après tout, c'est pas une secte ici, j'accepte tout le monde. Mais je vous conseille quand même de passer à Firefox. Pour votre bien.

Alors que le Petit Larousse est obligé d'attendre, Wikipédia réagit instantanément...

C'est bizarre, mais depuis qu'il est au pouvoir, je n'arrive pas à retenir le nom du président iranien correctement. Je ne sais pas pourquoi, mais mon cerveau s'obstine à l'écorcher et à transformer Mahmoud Ahmadinejad en Ahmadine-Djihad... Lapsus révélateur ?

Ce sont les trois sujets de discussion qu'il faut éviter au boulot. Enfin il paraît, d'après les collègues. Parce dans la pratique, ce sont aussi les trois qui reviennent le plus souvent... Pourquoi devoir éviter ces sujets-là ? Peut-être pour éviter le racolage (bizarre comme ce terme peut s'appliquer aux trois), la propagande, ou tout bonnement de choquer qui que ce soit, puisque ce sont surtout trois sujets considérés comme sensibles.

Alors maintenant, allez m'expliquer pourquoi tout le monde se précipite sur ces thèmes ? Peut-être par provocation, pour le plaisir de les tourner en dérision. Parce que finalement, la plupart du temps, les échanges se résument à des moqueries sur les candidats à l'élection en cours ou sur les déboires des gouvernants, des blagues vaseuses, à forte connotation sexiste sexuelle, ou des plaisanteries au dépens de telle ou telle croyance.

Ce qui ne fait que confirmer la raison pour laquelle on est censé éviter ces sujets : puisqu'on ne les traîte pratiquement que par la moquerie, on a d'autant plus de chance de choquer l'un ou l'autre. Bref, on en arrive à la question de l'équilibre entre la liberté d'expression et le respect.

Bon, je sais que cette formulation est déjà polémique en soi. Poser respect et liberté d'expression comme deux positions extrêmes entre lesquelles se situer. Comme si les deux devaient forcément s'opposer. Mais dans la pratique là encore, c'est ce que l'on constate : les censeurs veulent interdire le manque de respect et se font les apôtres de la tolérance, tandis que les défenseurs de la liberté d'expression se font une fierté de pouvoir provoquer les autres, en exigeant la tolérance des lecteurs. Mais alors, finalement, qui doit tolérer qui ?

Voilà un débat très intéressant, en somme, qui mériterait bien un petit fil de discussion, mais comme c'est aussi un sujet sensible, je crois que je vais fermer les commentaires sur ce billet pour éviter les débordements. Ou pas...

Ce qui est gênant avec une alarme, c'est que tant que tu es assis devant ton ordinateur à travailler, elle te calcule pas, et elle dit rien. C'est au moment où tu éteins le PC et que tu attrapes tes affaires pour partir qu'elle se rend compte que t'es encore là et qu'elle commence à te reprocher d'être resté au bureau un peu trop tard. Et crois-moi, le son strident de la sirène, y'a pas plus stressant.

Et le problème surtout, c'est que forcément, on t'a pas donné la combinaison du digicode pour arrêter le vacarme, vu que t'es pas censé rester bosser aussi tard. Heureusement, j'ai pas eu à attendre qu'un employé d'une société de télésurveillance arrive de l'autre bout de la ville. Y'a quelqu'un de la boîte, à l'étage au-dessus qui a débarqué pour couper le hurlement du boîtier presque aussitôt^[1], donc je préfère en rester là. Je vais pas me plaindre qu'on nous demande de quitter le boulot avant 20h quand même. Juste que je me souvenais pas que c'était si tôt....

Et comme c'était ma soirée hier, j'ai passé cinq bonnes minutes à essayer d'ouvrir la porte de ma résidence en arrivant à la maison. Allez comprendre pourquoi, la serrure ne voulait plus de ma clé. Finalement, j'ai du sonner chez les voisins pour qu'ils m'ouvrent, histoire de ne pas passer la nuit dans le hall.

Et si je te dis qu'à l'origine, j'avais prévu de poster cette photo sans légende et seulement demain, et ce depuis dimanche dernier, tu me crois ?

Allez, puisque c'est ça, je vais de nouveau attendre demain pour râler^[2]...

Et voilà, ça fait un an que j'ai posté le premier billet de ce blog, à son ancienne adresse chez MSN. Depuis, il en a fait du chemin. Un gros déménagement au mois de septembre, avec un changement de plate-forme, quand j'ai abandonné les MSN Spaces pour mettre en place mon petit Dotclear flambant neuf, paramétré vraiment comme je voulais. Et puis une nouvelle ligne éditoriale au passage, et des billets plus fréquents. De nouveaux thèmes de temps en temps pour vous permettre de personnaliser l'ambiance selon votre humeur. Un peu plus de visiteurs et de commentaires. Des échanges très intéressants et des rencontres en chair et en os d'autres citoyens de la blogosphère...

Pleins de bon souvenirs, en définitive, et autant de bonnes raisons de continuer l'aventure pour l'instant. To infinity and beyond ! ^[1] comme disait l'autre.

Compte rendu de la session ordinaire du vendredi 13 avril 2007, qui s'est tenue à 20h00 au Bijou.

Menu :

• Salades gersoises.
• Brochettes de boeuf ou poulet au coriandre.
• Glaces, fromage blanc au coulis de fruits rouges et croustade. Pas de mousse au chocolat.
• Quelques boissons diverses.

Liste des membres présents :

• Enflammée, en cours d'initiation à la culture geek a subit suivi la formation officielle donnée par Maître Da Scritch et ses assistants.
  
• Eponyme, très élégante quoi que silencieuse, a agrémenté la soirée de très jolis sourire.
  
• Flo a été excusée pour son accent de France orientale du Nord, sous condition d'apporter ses fameux fondants au chocolat la prochaine fois.
  
• Da Scritch, professeur diplômé en histoire de la bidouille informatique, a dispensé des cours approfondis de geekitude.
  
• Pierre, expert en machines à laver à axe de rotation vertical, a été prié de remettre son pantalon pour aborder la question du fossé culturel canadien.
  
• Spica, à qui TarVal' et Enn' avaient délégué les clés de manière ponctuelle, a fait le ménage et fermé la porte en partant.
  
• Zeubeubeu, garant du haut niveau technique et intellectuel des débats, a été chargé des costumes pour la future séance de Paint Ball...

Une fois n'est pas coutume, j'aimerais partager avec vous le fruit de mes recherches concernant un des plus grands mystères de la science humaine post-moderne : j'ai nommé le sabre laser.

Chacun sait que le rayon laser est un des outils de découpe parmi les plus puissants au monde. Surtout dans les films de sciences fictions qui sortent depuis quelques dizaines d'années. Mais la possibilité de maîtriser le flux lumineux produit par un laser pour en faire le fameux sabre popularisé par Star Wars m'a longtemps laissé perplexe. Comment faire en sorte d'avoir une "lame" aussi grosse ? Un rayon laser est généralement extrêmement fin... Comme arriver à en limiter la longueur ? Normalement, le rayon se barre à l'infini et c'est pas un panneau stop qui va l'arrêter. Et surtout, comment se fait-il que les sabres puissent se cogner au lieu de simplement se croiser ? Un rayon lumineux n'a rien de matériel, et je ne vois pas comment ces "lames" faites de lumière seraient capable de s'entrechoquer comme leurs ancêtres en acier...

Pluriel ou singulier ?

J'ai appris récemment que les fêtes de Pâques de la tradition catholique n'étaient finalement pas liées à la Pâque juive (Pessah). On le voit notamment dans le pluriel lorsqu'on parle de la fête romaine, avec ses cloches et ses lapins (et plus clairement dans le nom anglais de Easter, par opposition à passover). Il paraîtrait que, comme pour Noël, c'est une tentative de l'église catholique de récupérer à bon compte d'anciennes fêtes païennes en leur donnant une connotation chrétienne.

Dites donc, les gens, les beaux jours arrivent, là ! Non, pas forcément ceux où il fait soleil (enfin un peu quand même), mais surtout ceux où on ne travaille pas. Lundi, on commence la série annuelle, et il va falloir en profiter, non ? Pâques^[1], Fête du Travail^[2], Armistice, Ascension, Pentecôte (enfin pour les fonctionnaires, pas pour moi)... D'ailleurs, le mois de mai, c'est mon mois préféré de l'année pour ça : on a au moins un, voire deux ou trois jours fériés, auxquels on va généralement adjoindre les ponts, et comme c'est aussi la fin de la période de prise des congés (1er juin au 31 mai chez nous), il faut aussi poser les derniers jours qui restent. Bref, pas une semaine de complète de tout le mois, c'est bien sympa...

Mais je m'égare. Je disais donc que la grande série de jours fériés arrivent. Et si on a de la chance, il fait soleil. Et moi, dans ces conditions-là, ça me donne envie d'aller faire un petit tour du côté des sommets, pour profiter du bon air pur de la montagne et remplir mes cartes SD de jolis paysages. Donc comme je sais que parmi mes lecteurs se trouvent quelques adeptes de la chambre noire digitale, je me demandais si certains seraient tentés par l'aventure, disons surtout pour le mois de mai, donc. Pour l'instant, rien n'est encore prévu, mais s'il y en a qui sont intéressés, signalez-vous maintenant ! Tout de suite !

Suivant ceux qui se manifestent, on pourrait se faire une ou deux petites balades, sur un ou deux jours selon l'envie. Il y a suffisamment de possibilités dans le coin pour trouver un truc adapté au niveau de tout le monde : que ce soit une petite balade gentillette ou une bonne grosse rando, moi je suis partant pour les deux.

Alors, y'en a que ça tente, la blogorando ?

Dans une discussion récemment, un collègue a soulevé un point très intéressant par rapport au gaspillage d'énergie. Tout le monde sait aujourd'hui que quand tu laisses ta télé et ta chaîne hifi en mode veille, tu fais fondre la glace d'un ours polaire. Et comme ils savent pas les manger assez vite, ça coule, ils en ont plein les pattes, ça colle et ils se font gronder par leur maman. Alors s'il te plaît, t'es gentil, t'éteins ta wii quand t'as fini, parce que c'est mignon un ours blanc, même s'il vit pas sur la banquise et qu'il s'appelle Knut, et que tes enfants ils vont pleurer si la maman ours elle gronde Knut et il va falloir que tu leur achètes les T-shirt du zoo de Berlin. Sauf que...

Pour mes lecteurs impatients, voici la fin tant attendue de ma petite histoire...

Déçu par cette humiliation publique, Joseph se retira dans une communauté de moines tibétains pour étudier les lois du Feng Shui et l'élevage du yack à queue courte. Son épouse le suivit mais du se contenter d'une petite maison de campagne à l'entrée du monastère dont elle n'était pas autorisée à franchir les portes.

Pendant ce temps-là...